mercredi 23 novembre 2011 à 12h30
Débat avec "l'économiste atterré" J.-M. Harribey.
agenda bloc notes n°15 Espaces Marx Toulouse
https://toulouse.demosphere.net/rv/3006
* Mercredi 23 novembre de 12h30 à 14h à l'amphi 2 de l'IUFM Paul Sabatier, le comité citoyen du Front de Gauche invite à débattre avec "l'économiste atterré" J.-M. Harribey.
* Mercredi 23 novembre à 20h30 au Bijou, L'UPT invite à débattre avec Mireille Bruyère sur "Quelle réponse à la crise financière ?"
* Mercredi 30 novembre à 20h30 hall 8 du parc des expos de Toulouse, meeting unitaire contre l'austérité et sur la dette avec ATTAC, COPERNIC, CGT, FSU, SUD, etc. avec entre autres J.M. Harribey.
* Mardi 6 décembre de 20h à 23h, salle de la Commanderie espace Osette, rue du lieutenant-colonel Pélissier, atelier-débat d'Espaces-Marx TMP sur " les concepts et la notion d'évaluation" :
o à quoi servent les différents concepts d'évaluation à la mode aujourd'hui ?
o Qu'est devenue la notion d'évaluation à l'heure de la "rentabilité"» et de la "compétitivité" des entreprises dans le capitalisme mondialisé ?
o Avec l'esprit critique qui anime la pensée marxiste, quelles pistes pouvons-nous essayer de dégager ? Dans l'immédiat, A. Rivière en voit essentiellement deux, qui sont l'économie sociale et solidaire et la méthodologie de projet.
Les Mercredi 16 à 17h et samedi 19 à 18h30 devant le théâtre Garonne, barrons la route aux néo-fascistes de Civitas et de l'Opus Dei de la Dalbade, qui veulent "restaurer la Royauté sociale du christ sur les nations et les peuples" et ont promis de perturber les représentations du "Golgota picnic" de Rodrigo Garcia à Toulouse. Nous allons défendre non seulement la liberté d'expression mais en plus le droit au blasphème que nous imposerons aux intégristes i) islamistes qui incendient les locaux de Charlie Hebdo (au motif qu'il ne faudrait ni dessiner ni railler la figure de mahomet ["Charia Hebdo"]) et ii) catholiques qui renouent avec les manifs qui visaient en 1966 à empêcher la représentation de la pièce " les Paravents" de J. Genet au théâtre de l'Odéon (au motif qu'il vitriolait les exactions de l'armée française en Algérie). Maintenant au théâtre de la Ville, les néo-fachos de Civitas et de l'AGRIF visent à perturber le déroulement de la pièce de Roméo Castellucci "Sur le concept du visage du fils de dieu" aux fins de "reconquête politique et sociale visant à rechristianiser la France" : l'amour et la compassion dévouée d'un fils pour son père incontinent dans un intérieur bourgeois devant une toile de fond représentant la figure du "Salvator Mundi" du peintre du Quattrocento, Antonello da Massina, n'avaient pas suscité tant de malaises lors des représentations de la pièce en Avignon et à travers l'Europe (y compris en Italie et dans la Pologne très catholique !). Pourquoi il serait insupportable que soient représentées sur scène de telles mises en scène sous le regard du christ, alors qu'il (si d'aventure il existe en tant que fils de dieu) contemple des scènes pornographiques de massacres, de tortures et de viols bien pires qui se déroulent sous ses yeux sur la scène, elle bien réelle, d'un monde qui aurait été créé par son
père ? La représentation serait-elle pire que la réalité ? Alors que se réveille "la chose immonde" qui sommeille dans les bas fonds pulsionnels racistes, misogynes et homophobes d'une société capitaliste en crises financière, économique, alimentaire, sociale, environnementale et culturelle, ne laissons pas les héritiers spirituels des inquisiteurs, qui brûlaient les "sorcières" au Moyen-âge et les livres "judéo-bolcheviques" des temps nazis, relever la tête.
Pour soutenir le théâtre Garonne, envoyez un courriel à comitedesoutien-garonne@theatregaronne.com, en mentionnant vos nom, prénom et profession suivis de la mention « je signe ».
"Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet un jour que des banques privées contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession, d'abord par l'inflation, ensuite par la récession, jusqu'au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre que leurs parents ont conquis." Thomas Jefferson, président des USA (1802) …
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Source : message reçu le 6 novembre 23h