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samedi 21 janvier 2012 à 14h45

Relai de la campagne internationale Air Souffrance

Relai de la campagne internationale Air Souffrance

samedi 21 janvier
de 15 à 17h
devant la boutique Air France, 2 boulevard de Strasbourg,
métro Jean Jaurès

Toulouse

Des militants du collectif AnimÔ Toulouse déguisés en personnel d'Air France tiendront des panneaux, d'autres distribueront des tracts d'information sur la complicité honteuse de cette compagnie avec les laboratoires d'expérimentation animale.
Nous ferons signer des pétitions et interpellerons Air France à l'aide d'un mégaphone.

Air France-Klm est l'un des plus gros transporteurs de primates destinés aux laboratoires; ces expérimentations , en plus d'être barbares, sont complètement inutiles, car on sait maintenant que seules les cellules HUMAINES sont des modèles fiables pour les humains, et on sait aussi qu'étant donné l'évolution actuelle de la science, cette méthode est parfaitement opérationnelle.

Cette campagne est relayée dans de nombreuses autres villes françaises ainsi qu'aux Pays Bas, en Italie, en Grande-Bretagne, en Irlande, en Israël et aux États-Unis.

+ d'infos ci-dessous et sur : http://airsouffrance.fr

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Facebook
http://www.facebook.com/events/191746167590699/

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Contact :
animotoulouse(at)hotmail.fr

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+ de détails sur la campagne Air Souffrance :

Forts de leurs récents succès auprès de British Airways, Pakistan International Airlines, El Al et Amerijet International, les anti-vivisection demandent maintenant à Air France-KLM de rejoindre la cinquantaine de compagnies aériennes ayant déjà fait le choix éthique de ne plus cautionner activement le marché de l'expérimentation animale.

Chaque année, des dizaines de milliers de primates sont transportés à travers le monde. Air France-KLM en est actuellement le principal transporteur de l'Ile Maurice, des Caraïbes et d'Asie vers l'occident.

Pour la recherche biomédicale, de nombreux primates sont arrachés à leur milieu naturel et sont utilisés pour des expériences hautement invasives, principalement dans la recherche sur les maladies du cerveau. Cependant, une maladie neuro-dégénérative humaine, largement influencée par notre mode de vie et les centaines de substances toxiques présentes dans notre sang, ne peut pas être recréée sur une autre espèce. Nul besoin d'être scientifique pour comprendre que les données fournies pas ces expériences ne sont pas exploitables et ne peuvent donc pas être étendues à des paramètres humains.

D'autres exemples témoignent de la non-fiabilité de l'animal comme modèle biologique pour l'homme. Malgré les 98,7% de gènes que les chimpanzés ont en commun avec nous, ils ne s'avèrent pas être de bons modèles pour la recherche médicale. Il existe en effet de grandes différences entre les infections et maladies virales des primates et celles des humains, d'autant plus que ces maladies sont inoculées artificiellement dans les animaux, ce qui rend leurs résultats incomparables avec ceux des maladies nées spontanément dans l'organisme humain.

Les primates ne développent pas les symptômes du SIDA lorsqu'ils sont infectés par le VIH en laboratoire. Ils sont naturellement immunisés contre notre malaria commune. Par ailleurs, les tests sur les primates n'ont pas permis de comprendre l'infection du virus de l'hépatite C. Enfin, les primates ne présentent pas les mêmes formes de cancer que les nôtres.

Certains chercheurs se basent sur les coïncidences biologiques inter-espèces pour laisser entendre que le modèle animal ressemblerait suffisamment à l'homme : or "ressembler" n'est pas un verbe scientifiquement recevable.

Les primates vietnamiens donneraient en laboratoire des résultats, non pas différents, mais opposés à ceux fournis par leurs cousins de l'Île Maurice.

D'après une étude réalisée par la British Union Against Vivisection (BUAV), huit macaques capturés sur dix meurent avant même d'atteindre le laboratoire. Ils peuvent avoir été tués lors de leur piégeage mais c'est surtout le stress provoqué par leur soudaine captivité qui leur est le plus fatal.
Les vols sont tout aussi stressants et les animaux y sont lourdement malmenés d'une escale à l'autre. Un voyage peut durer jusqu'à 60 heures.

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Lien : https://toulouse.demosphere.net/rv/3313
Source : http://animo-toulouse.over-blog.com/
Source : message reçu le 20 janvier 11h